Defesa @ Net fait peau neuve !

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Le site brésilien d’actualité sur la défense dans les domaines terrestre, aérien et naval a lancé sa nouvelle mouture début avril.

Pour la petite histoire, Defesa @ Net a commencé en 1999 lorsque son créateur, journaliste reconnu dans le milieu de la défense brésilienne, Nelson Francisco Düring, a commencé à envoyer des newsletters hebdomadaires aux agences gouvernementales, entreprises privées et aux personnes intéressées dans les domaines de la défense, la stratégie et l’intelligence.

Voyant l’intérêt que suscitaient ses emails, il a décidé en 2000, de lancer son propre portail en ligne et de recruter les journalistes talentueux des éditions papier des revues brésiliennes spécialisées défense.

Depuis quelques jours, donc, une nouvelle version du site a été mise en ligne : plus fraîche, mieux structurée qu’auparavant, la navigation est plus claire et rangée par domaines : Terrestre, Aviaçao, Naval mais également SOF (Soldiers of Fortune), Geopolitica, Segurança, Defesa et Tecnologia.

La section DNTV où sont postées une vingtaine de films reste inchangée : il s’agit de la reprise du channel Youtube de la marque Defesanet qui comportent plus de 200 films. Cela veut dire qu’il n’existe toujours pas de vraie WebTV dans notre secteur.

Au niveau des espaces publicitaires, la home page se modernise et rentre dans les standards IAB. 1 bannière leaderboard 728×90 px, 4 bannières MPU 300×250 px et 2 petits encarts de sponsoring en 300×100 pixels.

Les premiers annonceurs qui soutiennent cette nouvelle version du site sont Sagem pour leurs solutions navales, MBDA, Renault Trucks Defense pour son blindé léger Sherpa, EADS, Saab en soutien de son Gripen, BAE systems, IAI et Rafael (tous deux missiliers israéliens). Chaque sponsor a 100% de part de voix dans son emplacement.

Le site reçoit près de 85 000 visiteurs uniques par mois (source : Google AdPlanner), ce qui est beaucoup pour un site de cette taille dans notre secteur.

Site Web : http://www.defesanet.com.br

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Les Chiffres de la Semaine : du 7 au 11 février

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Le site de France 24 enregistre une fréquentation en hausse lors des soulèvements dans les pays arabes

France24.com a enregistré une fréquentation record de près de 10,4 millions de visites en janvier 2011, alors que la Tunisie et l’Egypte focalisaient l’attention de la communauté internationale. C’est sur sa version en langue arabe que la chaîne connaît la plus forte augmentation, avec une hausse de 63% des visites sur le site et de 67% sur le site mobile. Les connexions en provenances des pays du Maghreb ont explosé. Sur les réseaux sociaux, France 24 totalise près de 400 000 membres des trois communautés (anglaise, française et arabe).

Tablettes et smartphones domineront le marché devant le PC en 2011

Plus de la moitié du matériel informatique qui sera vendu courant 2011 sera des tablettes numériques ou des smartphones, mettant ainsi fin à la suprématie depuis trente ans des ordinateurs de type PC, selon l’étude du cabinet Deloitte publiée jeudi 10 février. Sur un total de 425 millions d’unités vendues dans l’année, 50 seront des tablettes numériques et 375 des smartphones, contre 390 millions de PC vendus. Le marché sera dominé par «des terminaux utilisant des processeurs et des systèmes d’exploitation différents de ceux utilisés pour les PC», prédit Deloitte.

IAB : l’e-pub représente 12,5% des achats d’espaces en 2010

Le nombre d’annonceurs sur le web a progressé de près de 3%, contre une hausse de 1% sur l’ensemble des supports.

Au terme d’une année 2010 de reprise pour la publicité, avec une croissance des investissements plurimédia hors web de 10,2 %, Internet est le quatrième support média en France, à 3,3 milliards d’euros d’achats d’espaces (hors search) bruts, selon le baromètre IAB-SRI réalisé par Kantar Media. Il suit la télévision (8,8 milliards d’euros), la presse (7,3 milliards d’euros), la radio (3,9 milliards d’euros), et devance la publicité extérieure (2,7 milliards) ainsi que le cinéma (257 millions). En moyenne, les annonceurs ont consacré 12,5 % de leur budget publicitaire à Internet.

Le nombre d’annonceurs ayant investi sur le web a progressé de 2,9 % en 2010 en base annuelle, à 5 069, tandis que les annonceurs plurimédia augmentent de 1 %, à 37 752. Le mix média incluant Internet est en hausse : 63 % des annonceurs présents sur le web ont une stratégie plurimédia, et 67 % des annonceurs en TV nationale font aussi du online.

Enfin, les 765 annonceurs fidèles, présents sur le média depuis au moins 2008, génèrent 77 % des investissements publicitaires bruts en 2010. Les trois premiers annonceurs en termes d’investissements bruts sont Orange, Microsoft et Renault.

Diffusions presse OJD 2010 (base : DSH 2010) : focus sur la PQN, les news/pictures, les féminins et la presse TV

L’OJD publie les DFP 2010 (Diffusion France Payée), sachant qu’il s’agit à ce jour des DSH (Déclarations sur l’Honneur). Les résultats communiqués ici sont de la PQN, des principaux titres d’actualités, des féminins et de la presse télévision (segmentation de l’OJD) ; les résultats des deux suppléments de la PQR, Version Fémina et TV Magazine ne sont pas disponibles à ce jour.

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La France compte 22 millions d’internautes supplémentaires depuis 2001

Le nombre d’internautes en France est passé de 16 à 38 millions entre 2001 et 2010, soit 22 millions de « surfeurs » supplémentaires en dix ans, révèle l’Observatoire des usages internet publié mercredi 9 février par Médiamétrie.« La principale activité reste à plus de 86% les emails et à plus de 47% les messageries instantanées », note l’étude. Avec l’émergence des réseaux sociaux depuis ces cinq dernières années, les jeunes sont les plus accrocs : « ils représentent aujourd’hui 25% des internautes ». Mais les seniors (âgés de 50 ans et plus) ont aussi vu naître leur catégorie, celle des « silver-surfer ».

Les réseaux sociaux changent la relation à l’entreprise

8 entreprises du CAC 40 ont suscité plus de 350 tweets quotidiens au dernier trimestre 2010, selon une enquête TNS Sofres – Top Com.

67% des utilisateurs de réseaux sociaux pensent que la toile a profondément changé la manière dont ils s’informent sur les entreprises, et 44% disent aimer utiliser Internet pour tenter de peser sur le comportement des entreprises, selon une enquête TNS Sofres – Top Com réalisée en janvier 2011 auprès de 1145 internautes français de 15 ans et plus.

9% des utilisateurs des réseaux sociaux y ont déjà critiqué un patron ou un dirigeant d’entreprise, et 21% y ont critiqué des entreprises ayant mal agi à leurs yeux.
Présentés dans le cadre du Top Com Corporate organisé du 7 au 9 février 2011, ces résultats ont été complétés par une analyse de la « twittosphère », un recensement réalisé par la société Semiocast des tweets échangés sur les entreprises du CAC 40, La Poste, et la SNCF, au cours du 4e trimestre 2010.

Sur les 42 entreprises observées, 8 ont dépassé sur le dernier trimestre 2010 une moyenne de 350 Tweets quotidiens : Renault, France Télécom Orange, Carrefour, PSA Peugeot Citroën, L’Oréal, Michelin, Danone, et BNP Paribas. Et 19 entreprises ont suscité entre 100 et 300 tweets quotidiens. Les thèmes des messages sont variés : gestion sociale, offre commerciale, qualité de service, publicité et sponsoring, actualité corporate. La tonalité de la trace laissée est variable selon les entreprises. En moyenne, elle est plutôt favorable : 26% des internautes ont entendu parler des entreprises testées en bien, 20% en mal et 52% de façon neutre.

Selon TNS Sofres, les réseaux sociaux vont « soit amplifier des crises déjà médiatisées, soit à l’inverse amortir certaines interpellations émanant de minorités actives, soit sédimenter sur la durée l’image d’une entreprise, en lien avec les centres d’intérêt des internautes ».

Un mois de janvier 2011 qui s’annonce encourageant en investissements publicitaires, d’après les indicateurs avancés de Kantar Media

a télévision entame 2011 avec le même trend qu’en 2010 :+12,7%. La TNT continue de présenter des évolutions significatives (+42,3%) quand les chaînes nationales enregistrent un ralentissement de la hausse de leurs recettes (+4,4%). Le média continue d’attirer davantage d’annonceurs (+14,5%) comme sur le total de l’année 2010. La presse connaît une progression soutenue en valeur à +12,3% mais moindre en volume : +3,6%. La radio débute l’année de manière dynamique à +12,2% boostée par les radios généralistes: +16,6% en recettes, +15,6% en durée et +7,8% en nombre d’annonceurs.
La publicité extérieure enregistre un retrait de ses recettes sur le mois vs janvier 2010 à -6%.

Sources : Stratégies et OffreMédia

Nouvelle campagne en ligne d’Air France Industries KLM E&M

Air France Industries KLM E&M, spécialiste dans la maintenance aéronautique, a lancé une campagne 100% en ligne depuis janvier 2011. Elle est visible sur les sites BtoB internationaux de la profession comme flightglobal.com, atwonline.com et aviationweek.com ainsi que sur des sites régionaux russes et arabes.

Les 5 bannières mettent en avant la marque AFI KLM E&M via ses filiales Epcor, KLM UK et Aerotechnic, ainsi que leur nouveau service d’aménagement intérieur pour jet vip.

Bannière Flash 728×90 pixels pour la filiale KLM UK autour de la maintenance des appareils 737

Bannière Flash 728×90 pixels pour les services autour du A320

Bannière Flash 728×90 pixels présentant les services de maintenance pour APU, Auxiliary Power Units.

Le nouveau service d’aménagement d’intérieur pour jet privé d’AFI KLM E&M :

Dossier spécial : Mesure de l’efficacité de la publicité en ligne

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Les investissements en publicité ne cessent de croître sur Internet. La publicité online a représenté en 2010 16% du total des investissements publicitaires mondiaux. Ce chiffre devrait passer à 21% d’ici 4 ans. Pour la France, le média Internet représente 12.2% au premier semestre 2010 et arrive en 4ème position derrière les budgets TV, radio et presse. Cet essor s’explique par l’évolution des usages qui tendent à donner plus d’importance au levier Online et par l’amélioration des techniques de ciblage et de mesure désormais disponibles sur le Web.
La standardisation des formats publicitaires et l’utilisation de plus en plus fréquente de la vidéo contribue également à l’orientation des budgets vers le Online. Aussi, avec le développement des réseaux sociaux, le Web est devenu un espace sur lequel se construisent la réputation et l’expérience de marque.

L’importance d’avoir à sa disposition des outils fiables de mesure de la publicité en ligne est devenue primordiale pour les annonceurs. Ce sujet n’avait jamais encore été abordé de manière aussi globale que ce qu’a réalisé PriceWaterhouseCoopers (PwC) pour le compte de l’IAB France et du SRI (Syndicat des régies internet). PwC a passé au crible plus d’une soixantaine d’études et a interrogé des annonceurs de secteurs variés ainsi que trois agences médias.

Un premier constat : les outils de mesure de la publicité en ligne sont nombreux, il appartient à l’annonceur de définir la place du média Internet dans sa stratégie media globale afin d’identifier ensuite les indicateurs de mesure adéquats.

Deuxième constat : pour les campagnes display, le taux de clic reste l’indicateur le plus largement suivi, mais il montre ses limites. Ainsi, en 2009, seuls 16 % des internautes cliquaient sur les publicités. De plus, il ne donne aucune indication sur l’impact d’une campagne sur la perception de la marque, ni sur les comportements de navigation de l’internaute. Il faut donc en chercher de nouveaux.

Troisième constat : dans le secteur BtoB, les annonceurs sont encore frileux. Le pilotage de la performance en ligne relève du défi de l’éducation des acteurs et de la transmission de la culture Web au sein de ces entreprises.

1. Définir une stratégie média digitale

Avec la multiplication des propositions et formats publicitaires, les annonceurs ont le choix de développer leur communication de différentes façons et sur de nombreux canaux : sites de la marque, campagnes de bannières publicitaires sur les sites de presse en ligne, présence sur les réseaux communautaires, sponsoring de dossiers spéciaux… C’est du ressort de l’annonceur d’évaluer la pertinence et l’efficacité de chaque espace de communication en fonction de ses objectifs.

Les questions que les annonceurs doivent se poser pour réussir leur communication en ligne sont : Quelle part des budgets publicitaires consacrer au digital ? Quelle part accorder à chaque levier au sein de la stratégie digitale ? Quels sont les dispositifs digitaux les plus performants selon les objectifs de mes campagnes ?

Pour répondre à ces questions une stratégie digitale doit être construite et mesurée autour de deux axes : l’axe évaluant l’efficacité digitale en termes d’impact sur la marque et l’axe visant à donner une cohérence à la part du digital au sein du plan média global intégrant print, TV, radio, affichage et hors médias.

De nombreux indicateurs propres au Web sont à la disposition des annonceurs pour mesurer ces deux axes, ce qui en fait un média très réactif par rapport aux médias traditionnels. Pour qu’une mesure de l’impact d’une campagne digitale soit pertinente, il faut faire un choix parmi tous ces indicateurs. Ce choix se fait en fonction des objectifs fixés en amont et dans le but de ne pas se retrouver noyé dans les chiffres.

Dans notre secteur BtoB, les campagnes en ligne peuvent poursuivre les objectifs suivants :

  • Le branding ou développement de la marque : objectif de notoriété, de perception de marque.
  • Le développement de l’engagement client : objectif de poursuivre sur le Web l’expérience de marque et d’impliquer l’internaute.
  • Le renforcement de la couverture : par la répétition du message sur le Web, l’annonceur va chercher à prolonger l’exposition à son message obtenue dans les autres médias.
  • La génération de leads : l’annonceur cherche à connaître mieux l’internaute par le biais de dispositifs de qualification (e-newsletter, questionnaires…)
  • La réduction du coût d’acquisition : le coût pour mille étant le plus bas sur Internet, l’annonceur va chercher une meilleure performance, un meilleur ROI.

Ces objectifs ne sont pas contradictoires. En fonction de l’objectif recherché (visibilité, engagement, perception de la marque…), l’annonceur devra faire un choix parmi les dispositifs de mesure et de pilotage présentés ci-dessous.

2. Mesure de l’impact en ligne : de nouveaux indicateurs à considérer


Pour les campagnes display, le taux de clic ou CTR (Click Through Rate) est la référence en termes de suivi de campagne. Or, cet indicateur est limité sachant qu’en 2009, seuls 16% des internautes ont cliqué sur les bannières, et que 8% des internautes représentent 85% des clics. De plus, cet indicateur ne donne aucune indication sur l’impact d’une campagne sur la perception de la marque ni sur les comportements de navigation ultérieurs de l’internaute.

Cette utilisation systématique du taux de clic s’explique par la facilité d’usage de cet indicateur et par la difficulté pour les annonceurs de mettre en place d’autres indicateurs plus pertinents.

Au-delà du taux de clic, la mesure de l’exposition permet de connaître la visibilité de la campagne réelle et la durée d’exposition moyenne de l’internaute. Face à la prolifération des bannières, au rafraîchissement des pages et au taux de rebond de certains sites, de nouveaux outils permettent de quantifier la durée exacte de visibilité d’une bannière à l’écran. Des entreprises comme Alenty proposent des solutions de ce type.

Le taux de clic ne permet pas non plus de mesurer l’interaction de l’internaute avec le message de la marque. Liés au format Rich Media ces indicateurs permettent de mesurer la part des internautes ayant interagi avec une bannière (visionnage d’une vidéo, extension d’un expand banner) et la durée moyenne d’interaction. Ces nouveaux formats Rich Media incitent l’internaute à interagir avec la marque : une étude d’Eyeblaster a montré que les taux d’interaction sont de l’ordre de 10% sur les formats Rich Média, alors que seul 4 internautes sur 1000 cliquent sur les bannières classiques.

[singlepic id=107 w=320 h=240 float=right]Le taux de clic ne permet pas non plus d’évaluer l’engagement des internautes. L’annonceur peut, de façon ciblée, qualifier l’expérience de marque en suivant la navigation ultérieure de l’internaute après exposition au message. L’internaute pourra se rendre sur le site de l’annonceur ou bien effectuer une recherche en ligne en lien avec l’annonceur plusieurs jours après avoir été exposé. Cette expérience de marque peut s’exprimer sous différentes formes :

  • Le temps passé sur le site de l’annonceur par l’internaute ciblé
  • Le nombre de pages vues par l’internaute ciblé
  • Les actions entreprises par l’internaute ciblé (visionnage d’une vidéo, inscription à une e-newsletter,…)
  • La profondeur de parcours réalisé (égale au nombre de pages visitées lors de ce parcours)
  • L’engagement sur les forums, blogs, réseaux sociaux (commentaires postés, informations ou vidéos partagées sur le profil, …)

De nouveaux outils tendent à unifier et à rendre comparables entre eux les indicateurs de mesure de chaque média. En effet, il n’existait pas encore de mesure précise des couvertures et répétitions d’une campagne pluri-média, ni de comparaison de GRP pour chacun des médias. Nielsen a inventé la mesure GRP Web, application au média Internet du calcul de Gross Rating Point.

Le meilleur outil de mesure de branding restent les études post-test. Grâce à elles, l’annonceur pourra déterminer l’impact réel de sa campagne sur le Web. Elles portent en général sur la totalité des médias utilisés (print, radio, TV et Web) et peuvent servir à évaluer la complémentarité de chaque canal utilisé. Flightglobal propose de mener des études de ce genre après une campagne pluri-médias (print, online et e-newsletter) sur leur site.

3. Inculquer la culture Web aux annonceurs

Dans notre secteur B2B, bien que la plupart des annonceurs observent l’apport du Web notamment en termes de couverture additionnelle par rapport aux autres médias, Internet reste trop souvent considéré comme un simple levier de communication qui complète les plans médias. Certains annonceurs ont néanmoins compris qu’à terme, l’investissement publicitaire online est nécessaire et pertinent. D’autres sont encore perplexes sur les mesures précises de l’efficacité du média Internet. De plus, ils n’exploitent pas encore assez les possibilités que leur offre ce média : vidéos, Rich Media, publi-rédactionnels par les bloggers influents du secteur, sites communautaires…

Le média Internet ne remplace pas non plus les autres médias, il en est complémentaire. Il ne faut pas chercher à reproduire sur lui les méthodes des médias traditionnels. En revanche, il permet de toucher une audience ciblée, de prolonger l’expérience de marque et d’interagir avec l’internaute navigant de manière proactive. Dans l’étude, les annonceurs sondés s’accordent sur le fait que le Web a un plus grand impact sur la connaissance et la perception de la marque que les médias traditionnels.

Si le Web peine encore à s’introduire au sein des Directions Communication et Marketing des entreprises du secteur BtoB c’est également par manque de compréhension ou de formation sur ce média de la part des acteurs impliqués. Il faut diffuser la culture Web au sein de ces services, apporter la connaissance sur les outils de mesure et mettre les dispositifs de mesure et de tracking en place sur les sites Web de ces entreprises.

En conclusion : Les nouveaux outils de mesure de l’efficacité de la publicité en ligne vont pousser les acteurs du secteur BtoB à donner à ce média une place de plus en plus importante. La mesure de l’exposition à une bannière publicitaire, la mesure de l’interaction (lecture d’une vidéo, …) et l’analyse de la navigation après exposition à un message, sont des outils qui vont être essentiels aux annonceurs pour mieux appréhender l’impact de leurs campagnes en ligne sur leur marque.

Sébastien Leroyer, Manager chez PriceWaterhouseCoopers résume : « Nous sommes passés d’un environnement simple où la présence sur le Web se limitait à des bannières redirigeant vers un site de marque, à un monde plus complexe, dans lequel les acteurs les plus performants jouent sur des leviers plus nombreux : vidéo, présence sur les réseaux communautaires, viralité, cobranding… La mesure de la performance doit évoluer pour accompagner ce nouveau paysage. Plus que jamais les annonceurs ont besoin des bons indicateurs pour construire et justifier leurs budgets digitaux. »

Une récente étude de Nielsen justifie d’autant plus les investissements dans la publicité en ligne : d’après cette étude, une publicité vidéo sur le Web est mieux mémorisée qu’une publicité TV (le taux de mémorisation sur le Web est de 54% un jour après l’exposition alors que celui de la TV est de 44%). Le Web est donc un espace idéal pour contribuer à la notoriété d’une marque.

L’étude complète « Comment mesurer l’efficacité de la publicité en ligne ? » réalisée par PwC est disponible à cette adresse.

Les Chiffres de la Semaine : du 17 au 21 janvier

L’Armée de l’Air choisit Euro RSCG C & O

L’agence Euro RSCG C & O, filiale du groupe Havas, a remporté le budget de communication de « marque employeur » de l’Armée de l’Air pour les trois prochaines années.

Vers une croissance à 2 chiffres de la publicité en ligne en 2011

Les dépenses nettes des annonceurs en ligne ont progressé de 9 % en 2010 pour atteindre 2,3 milliards d’euros selon l’observatoire annuel de l’e-pub réalisé par Capgemini Consulting pour le Syndicat des Régies Internet (SRI). En 2009, les dépenses publicitaires nettes des annonceurs avaient progressé de seulement 6 %. Le search demeure le premier levier publicitaire avec 960 millions d’euros nets investis (+9 %), suivi du display avec 540 millions d’euros nets (+12 %). Le mobile enregistre la plus forte progression (+23 %), même si les montants investis (27 millions d’euros) restent minces. Lire l’étude complète

Le Figaro, premier site d’information en novembre, selon Médiamétrie

Selon l’étude Médiamétrie Net Ratings portant sur le mois de novembre 2010, la premier site d’information en termes de visiteurs unique (VU) est celui du Figaro (6 837 000 VU). Le quotidien est suivi de son concurrent direct Le Monde (5 188 000 VU), puis respectivement 20 Minutes (5 075 000 VU), qui entre dans les trois premiers du classement, L’Express (4 979 000 VU), Le Parisien-Aujourd’hui en France (4 629 000 VU), Le Nouvel Observateur (4 100 000 VU), TF1 News (3 827 000 VU), Le Point (3 641 000 VU), Libération (3 246 000 VU) et enfin Le Post (3 210 000 VU).

Facebook revendique 600 millions d’utilisateurs à travers le monde

Le réseau social planétaire Facebook recenserait aujourd’hui 600 millions d’utilisateurs, selon son site d’analyses Social Bakers. La progression des inscriptions est fulgurante pour les six derniers mois: 20,7 millions de nouveaux inscrits aux Etats-Unis, 8,3 millions en Inde, 8 millions en Indonésie et 5,8 millions au Mexique, par exemple. En terme de pourcentage de croissance, l’Allemagne aurait fait un bond de 50% d’inscriptions et la Russie de 70%, selon les chiffres de Facebook.

Source : Stratégies

Les Chiffres de la Semaine : du 6 au 10 décembre

Investissements média Novembre 2010 : un mois de hausse pour quasiment tous les médias

D’après les indicateurs avancés de Kantar Media, le mois de novembre présente des recettes publicitaires brutes à la hausse : la télévision continue de faire progresser le marché sur le mois (+12,9%) toujours boostée par l’évolution des recettes des chaînes de la TNT (+48,3%) face à des chaînes nationales qui se maintiennent à +2,9%.
La presse présente une évolution de ses recettes brutes supérieure au cumul (+10,1% vs +9,3%). Les quotidiens affichent de nouveau une évolution plus dynamique que celle des magazines (+13,7% vs +9,3%).
La radio présente de nouveau des recettes brutes à la hausse en novembre (+5,1%). Les stations musicales boostent davantage le média que les stations généralistes sur le mois (+6,8% vs +3,6%) contrairement au cumul annuel.
La publicité extérieure stabilise ses recettes brutes (-0,1%) après 2 mois d’évolutions négatives. A fin novembre, le média enregistre une croissance de +3,9% en valeur.

Pema 2M | Chiffres Investissements pub novembre 2010 par Kantar Media

Le marché devrait dépasser en 2012 son niveau de 2008 d’après les prévisions d’investissement de Zenith Optimedia

L’agence média a publié hier ses traditionnelles prévisions d’investissement. Le rapport prévoit une reprise qui «devrait durer au moins 3 ans».
Les dépenses publicitaires globales vont augmenter de 4,9% cette année, selon Zenith-Optimedia, qui prévoit que cette reprise devrait se confirmer sur les trois prochaines années avec 4,6% de croissance en 2011 et 5,2% en 2012 et 2013. «Tous les continents sont concernés par cette reprise, souligne l’agence médias. Les publicitaires ont en effet regagné en confiance après la crise de 2009. (…) Tant que les publicitaires croient en la reprise, nous estimons que la croissance du marché publicitaire avoisinera les 6%.» Tous les pays ne sont cependant pas sur le même «trend». En France, en 2010 et 2013, les dépenses publicitaires devraient croître de 7,4%, selon Zenith-Optimedia. L’analyse de l’évolution des dépenses par média conduit l’agence médias à distinguer quatre groupes: la presse quotidienne et les magazines perdent 2% entre 2010 et 2013, la radio devrait augmenter de 10%, l’affichage de 18% et la TV de 19%. Dans le même temps, Internet continue de progresser bien plus vite que les médias traditionnels, avec 48% de croissance sur cette période. (Stratégies)

Pema 2M | Previsions investissements 2010-2013 par Zenith Optimedia

Médias Sociaux

Les sites sociaux sont incontournables pour les entreprises. Leurs dépenses dans ce domaine progressent fortement en 2011,  selon les prévisions du blogueur et analyste Jeremiah Owyang (Web Strategy). Ainsi, les entreprises dépenseront en moyenne 278 000 dollars en 2011 contre 190 000 en 2010 pour entretenir une équipe chargée des médias sociaux. De plus, leurs dépenses publicitaires passeront de 104 000 à 160 000 dollars.

Décollage imminent du blog de Pema 2M

Bonjour et bienvenue sur le blog de l’agence PEMA 2M, notre nouveau blog.

PEMA 2M est une agence conseil en communication BtoB internationale, spécialisée dans les secteurs de l’aéronautique, la défense, la sécurité et le high-tech. L’agence accompagne ses clients dans leur démarche publicitaire et de stratégie plurimedia, ainsi que sur les salons aéronautiques. L’indépendance de l’agence permet une implication très forte du personnel, et la création de pôles de compétences fondés sur l’expérience et la parfaite connaissance de l’environnement des clients et des contraintes singulières de l’univers industriel BtoB.

Au croisement entre les annonceurs industriels, les agences de création et les régies publicitaires, ce blog est un carrefour d’informations et d’échanges sur les méthodes et les différents supports de communication dans le milieu BtoB, ainsi que sur les nouvelles tendances apparues dans notre secteur depuis l’essor du web.

Nous avons créé ce blog afin de proposer un rendez-vous régulier aux professionnels impliqués dans la communication BtoB des secteurs industriels de pointe. Le blog s’adresse plus particulièrement aux acteurs de l’achat média et à toutes les directions impactées par les médias traditionnels et digitaux.

pema-2m_btob_courbe_chartL’actualité dans notre milieu est riche. Salons, meetings aériens, conférences… Chaque mois, un événement d’envergure internationale a lieu quelque part dans le monde. Ce blog recense les rendez-vous incontournables de notre profession et donne les informations utiles pour préparer en amont la stratégie de communication autour de l’événement.

Régulièrement, de nouveaux sites web BtoB sont mis en ligne. Ces sites, généralement très spécialisés dans des domaines techniques propres à notre secteur, nécessitent une analyse approfondie de leur pertinence, de leur audience ainsi que des propositions publicitaires proposées par les éditeurs. Ce blog constitue une base de départ pour une discussion à caractère critique sur ces sites web.

Retrouvez un résumé de la semaine dans notre section Les Chiffres de la Semaine : l’actualité des médias généralistes et B to B, les statistiques d’audience des sites du milieu Aéro, Défense et Sécurité, les dernières infos sur les applications iPad, etc.

Ce blog sera aussi l’occasion pour nous de valoriser les compétences de l’agence et ses domaines d’intervention. Nous publierons des posts sur nos réalisations print & digital et nos opérations de communication et de marketing direct, dans la catégorie Actualités de l’Agence. PEMA 2M est une agence conseil mais s’est dotée d’un pôle dédié à la veille web et à la création et production de contenus digitaux. Nous le mettons en avant par le biais de ce blog.

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Le groupe PEMA fêtera prochainement ses 70 ans d’existence. Pour ce blog, nous fouillons dans les archives de l’agence pour ressortir les anciennes annonces de nos clients historiques. Vous pourrez retrouver dans la catégorie Histoire de ce blog, les campagnes de communication qui ont marqué l’histoire de l’agence et celle de l’aéronautique française du temps de Aerospatiale, Matra ou Thomson-CSF.

En tant que lieu de discussion, les utilisateurs de ce blog peuvent réagir aux posts publiés en y laissant des commentaires. L’utilisateur est seul responsable de ses commentaires sur le blog et s’engage en conséquence à ne formuler que des commentaires respectueux des lois et règlements en vigueur en France.

Bruno Grancoin, rédacteur en chef de ce blog, est le Directeur Commercial de notre agence. Il a rejoint le groupe PEMA en 2000, après avoir passé dix ans chez l’annonceur en tant que Directeur de la Publicité de Dassault Aviation.

Les posts de ce blog sont édités par Franck Latxague, chef de projet online de PEMA 2M.

Pour toute demande d’informations, retrouvez les personnes à contacter sur cette page.

Nous vous souhaitons une agréable lecture.

Études de cas

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