La publicité digitale prend de l’ampleur en France

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Les revenus publicitaires d’internet devraient passer de 2 milliards d’euros aujourd’hui à 2,3 milliards en 2014 et 3,26 milliards en 2015 selon eMarketer. Le web pourrait alors dépasser la presse dans le cœur des annonceurs.

Les médias sur internet vont-ils finir par dépasser la presse papier et la télévision en termes de recettes publicitaires ? La toile prend en tout cas de plus en plus de place dans les investissements des annonceurs. Selon les chiffres publiés par l’institut eMarketer le 8 novembre, les dépenses pour la pub numérique atteindront 2,3 milliards d’euros en 2014 et 3,26 milliards en 2015.
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Perspectives du marché publicitaire en 2012 et 2013

Prudence… la prudence serait le mot d’ordre pour qualifier le premier semestre 2012 en termes d’investissements publicitaires selon Anne Thetier, Directeur général en charge du trading d’Omnicom Media Group : « Dans une conjoncture de fébrilité économique, les annonceurs vont se montrer extrêmement prudents dans leurs engagements financiers », en particulier avec les élections présidentielles.

Selon Omnicom, toujours, l’année 2012 semble se profiler comme l’année 2011. Deux scénari ont été imaginés : un scénario de stabilité modérée (0,8%) ou de crise (-1,5%).

Si le marché publicitaire ne semble pas pour le moment avoir subi les effets de la crise de l’été dernier, Omnicom prévoit néanmoins un ralentissement des investissements en 2012, avec un impact variable selon les médias. Internet devrait continuer à enregistrer la plus forte évolution, avec une forte croissance des investissements sur la vidéo. Le mobile devrait voir doubler ses investissements en 2012. Si la crise se poursuit, la TV pourrait connaître un second semestre négatif. La presse et l’affichage, médias concernés par la montée du web, pourraient afficher une décélération plus marquée (entre -1% et -3%). La radio, «média de crise» verrait ses investissements se stabiliser ou augmenter légèrement (0-1%). source

Investissements publicitaires en France : la reprise tarde à venir

L’IREP (Institut de Recherches et d’Etudes Publicitaires) vient de publier une synthèse sur les investissements publicitaires en France au 1er semestre 2011. Le chiffre clé de l’étude est la progression des investissements de +2.1% au premier semestre 2011 par rapport au premier semestre 2010. Pour rappel, le marché publicitaire avait enregistré à cette même période l’an dernier une augmentation de +4.6%.

Hormis la Presse Gratuite d’Annonces, la PQN, la Presse Spécialisée et la Radio, dont les recettes diminuent, toutes les familles de média voient leurs recettes augmenter :

  • Le Cinéma : + 40,5% (+ 14,7% au 1er semestre 2010)
  • L’Internet display : + 15% (+ 9% au 1er semestre 2010)
  • La Presse Gratuite d’Information : + 11,3% (+ 5,7% au 1er semestre 2010)
  • La Télévision : + 3,9% (+ 12,8% au 1er semestre 2010) dont + 4,7% pour les écrans et – 8,7% pour le parrainage
  • La Presse Magazine : + 1,3% pour la publicité commerciale (+ 2,6% au 1er semestre 2010)
  • La PHR : + 1,3% (+ 0,8% au 1er semestre 2010)
  • La Presse Quotidienne Régionale : + 1,1% (- 4,3% au 1er semestre 2010)
  • La Publicité Extérieure : + 0,4% (+ 7,3% au 1er semestre 2010)

Le Mobile a été intégré à l’étude : les recettes publicitaires s’élèvent à 16 millions €, soit une évolution de +44.3% par rapport au 1er semestre 2010.

La prospective de France Pub sur l’ensemble de l’année imagine 2 hypothèses : le scénario de résistance à la crise (ou scénario de continuité) avec une bonne tenue du marché au troisième trimestre 2011, permet de compenser un début de fléchissement en fin d’année. Sur cette base, la croissance des dépenses de communication des annonceurs serait de +1,4% pour l’année.

Le niveau de dépenses record atteint avant la crise de 2009, ne va pas se reproduire de si tôt, précise l’étude ; il faudra même attendre plusieurs années, mais rien n’est précisé. Toujours est-il que pour la fin 2011, deux scenarii semblent se profiler :  celui de résistance à la crise (les bons scores du 1er trimestre permettent de compenser une réduction des dépenses en fin d’année) ou bien celui de la contagion (les dépenses fléchissent à partir d’octobre et ce, jusqu’à la fin de l’année).  Le premier scénario prévoit une évolution de +1.4% des dépense ; une baisse de -0.5% pour le deuxième.

Le 15 mars 2012, IREP-France Pub fera une synthèse des résultats annuels et nous aurons la réponse.

Télécharger le rapport complet

Le Huffington Post s’associe avec Le Monde

Le Huffington Post lancera sa déclinaison française dans la seconde moitié du mois de novembre. Le site d’information américain, filiale du groupe AOL, s’associe avec Le Monde pour fusionner le futur HuffingtonPost.fr avec LePost.fr, le site média participatif du quotidien, déficitaire de 1 million d’euros en 2010. Le site français LePost.fr disparaîtra au profit de la version américaine et de son expérience». Ce nouveau site se veut «plus ambitieux qu’une simple réplique française» du journal américain, précise le président du directoire du groupe Le Monde, Louis Dreyfus. Le site comptera pour débuter 8 journalistes.

Racheté par AOL en février dernier pour 315 millions de dollars, le site d’information Huffington Post a attiré 37 millions de visiteurs uniques aux Etats-Unis en août (selon Comscore).

Selon l’article dans Le Journal du Net, le rachat du Huffington Post par AOL a accéléré son internationalisation. Il a depuis lancé des éditions au Canada en mai et au Royaume-Uni en juillet et prospecte dans plusieurs pays, dont le Brésil, l’Espagne, l’Italie et la Turquie. La société, qui revendique employer 1 400 journalistes, a été bénéficiaire de 60 millions de dollars l’année dernière et devrait faire mieux cette année.

Campagne de PEMA 2M pour le moteur Silvercrest de Snecma

A l’occasion du salon NBAA qui se tient cette semaine à Las Vegas, la nouvelle campagne pour le produit Silvercrest de Snecma est en ligne. Il s’agit d’une nouvelle génération de moteurs pour l’aviation d’affaire qui rentrera en service à partir de 2014.

Il s’agit d’une campagne avec des bannières classiques sur des sites d’aéronautique généraliste comme Aviationweek mais aussi sur des sites spécialisé comme ATW Online.

C’est PEMA 2M qui s’est chargée de l’adaptation de la créa print en animation Flash. Une attention particulière a été apportée aux animations des textes, aux effets de lumière et à la texture de l’eau.

Afin de visualiser de façon optimale l’animation, cliquez ici.

LesEchos.fr épinglé par Médiamétrie pour avoir gonflé son trafic

Selon un article du Journal du Net, Médiamétrie vient de communiquer à ses clients la liste des sites qui ont dopé artificiellement leur statistiques de trafic entre les mois de mars et juillet.

Une quinzaine de sites ont augmenté leur audience de manière artificielle, sans donner à Médiamétrie les moyens d’identifier les sources de ce trafic. L’Institut de référence pour l’audience Web en France a communiqué à ses souscripteurs la liste de ces sites aux pratiques non conformes. Dans cette liste figurent deux sites médias (Les Echos et Cosmopolitan).

Le Journal du Net précise que « le trafic apporté par les dispositifs de « dopage » d’audience (e-mails rémunérés, pop-up et pop-under, jeux à instant gagnant, etc.) est exclu des audiences officielles calculées par Médiamétrie. Les URL liées à ces leviers marketing (pages de formulaires, landing pages, etc.) doivent faire l’objet d’un codage spécifique pour permettre à Médiamétrie de les exclure. En cas de non respect régulier de ce codage, Médiamétrie peut décider d’exclure l’éditeur des classements d’audience rendus publics chaque mois. »

Affaire à suivre donc… Malheureusement, les sites BtoB spécialisés de notre secteur, sont pour la plupart des sites étrangers qui ne sont pas soumis à des relevés d’audience réguliers. Il existe néanmoins des outils gratuits sur internet qui permettent de se faire une idée du trafic de la plupart des sites. Les plus connus s’appellent Alexa ou DoubleClick Adplanner de Google et nous donnent des chiffres qui proviennent de différentes sources anonymes. Voici ce que l’on trouve dans l’aide de l’outil Google :

« Ad Planner associe des informations issues de diverses sources, notamment des données de la barre d’outils Google qui sont regroupées de manière anonyme et proviennent d’utilisateurs volontaires qui ont activé les fonctionnalités améliorées. Il utilise également des données Google Analytics anonymes partagées par les éditeurs, ainsi que les données partagées du panel de consommateurs externe et celles d’autres études de marché tierces.

Ad Planner estime les valeurs « Visiteurs uniques (utilisateurs) » et « Audience » à partir de nos sources d’échantillons de données. Les outils d’évaluation analytiques tels que Google Analytics ne sont en effet pas en mesure de fournir de telles évaluations sur les utilisateurs existants. »

iPad et les autres : tour d’horizon du marché des tablettes tactiles

Encore considéré comme une niche, le marché des tablettes numériques commence à prendre son envol en France. Alors que l’agence Gfk a estimé qu’en 2010, 435 000 tablettes se sont vendues en France, elle confirme ses prévisions pour 2011 : un million de tablettes seront vendues, soit une augmentation des ventes de plus de 200% .

Des prévisions de vente encourageantes pour 2012, des propositions gouvernementales intéressantes et la multiplication de l’offre par les fabricants ne font qu’accélérer le mouvement. En 2012, nous serons trois millions de français à posséder une tablette numérique. Le grand gagnant, pour l’instant, est incontestablement Apple. La part de marché de l’iPad est estimée entre 90% et 95% par rapport aux solutions des concurrents de la firme à la pomme.

La démocratisation des tablettes va passer également par l’utilisation de ce support en entreprise. Lors du dernier Salon Internationale de l’Aéronautique du Bourget, j’ai été frappé par le nombre de commerciaux arpentant les allées tenant en main une tablette. Le format a séduit, la simplicité de prise en main a convaincu : il est vrai qu’un produit prend de suite une dimension high tech quand il est présenté sur ce support numérique (bien entendu, il faut qu’au préalable l’application ait été bien conçue).

Vecteur d’innovation, les marques n’ont pas tardé à s’emparer de l’outil pour proposer des solutions révolutionnaires : Eden Park envisage d’équiper ses points de vente de tablettes affichant leur catalogue et la possibilité d’essayer les vêtements via la réalité augmentée.

En matière de publicité, tout reste à faire. C’est un marché en devenir, au même titre que le développement de la publicité sur smartphones. C’est d’ailleurs ce dernier qui donnera l’impulsion et facilitera la passerelle vers la publicité sur tablettes. Lorsque l’on sait que la publicité display sur mobile a progressé de 44% en un an (d’après l’Irep et la Mobile Marketing Association France), on ne peut que prédire un avenir radieux à la publicité sur tablettes. En termes de création, le format permet de réaliser des créations efficaces et valorisantes. On trouve de plus en plus d’agences, dont PEMA 2M fait partie, qui proposent la réalisation de bannières en HTML5 (avec des effets d’animation se rapprochant de plus en plus du rendu sous Flash) pour assurer une compatibilité sur tous les supports.

Reste à surveiller les outils de mesure qui vont se mettre au fur et à mesure en place pour suivre les campagnes publicitaires…

(source)

Campagne de recrutement pour L’Armée de l’Air


2000 postes sont à pourvoir chaque année. Du CAP aux grandes écoles, sur une cinquantaine de métiers de pilote à mécanicien, en passant par informaticien, manutentionnaire, pompier, contrôleur aérien, maître-chiens…

L’Armée de l’air, qui gérait jusqu’alors ses campagnes de communication en interne, a choisi cette fois de la confier à Euro RSCG C & O. Laquelle agence publicitaire avait préalablement mené une enquête auprès des jeunes. Celle-ci révèle que les 15-25 ans perçoivent l’armée de l’air comme un employeur élitiste recherchant essentiellement des profils experts et immédiatement opérationnels.

[singlepic id=420 w=320 h=240 float=right]La nouvelle campagne de l’Armée de l’Air s’articule autour de son nouveau site dédié http://air-touteunearmee.fr. Cette campagne multi-support se retrouve bien évidemment en spots TV, au cinéma, bannières web en tous genre et en affichage dans les gares.

Avec pour thème cette année : « pour faire voler nos avions il faut toute une armée ». Une manière de faire découvrir la cinquantaine de métiers accessibles aux jeunes de moins de 30 ans de niveau 3ème à bac+5.

Le nouveau site de recrutement de l’armée de l’air propose aussi une navigation originale pour en savoir plus sur les métiers, les bases, l’expérience et la communauté de l’Armée de l’air. Avec des missions détaillées en vidéo et en diaporama pour aller plus loin.

Facebook : 1er support de publicité Display aux USA

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Au cours du premier trimestre, Facebook a capté près d’une impression publicitaire sur trois aux Etats-Unis. Le nombre d’impressions diffusées sur le réseau social a doublé en un an, selon le rapport comScore consultable ici.

Facebook confirme qu’il est devenu un monstre publicitaire incontournable aux Etats-Unis. Le réseau social a capté près d’un tiers (31,2 %) des impressions publicitaires enregistrées au cours du premier trimestre, soit 346 milliards d’impressions. L’an dernier, le réseau social affichait déjà à lui seul 16,2 % des publicités Display des sites US.

Facebook est de loin le 1er carrefour d’audience en nombre d’affichages de publicité. Le numéro 2 est Yahoo avec 10,1% des 1,1 trillion d’impressions délivrées sur le 1er trimestre 2011. En comparaison, Google, n’affiche que 2,5 % des impressions sur le secteur du Display.

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Ces chiffres démontrent bien que Facebook domine incontestablement ce marché, mais cela n’est pas sans conséquence : le réseaux social a augmenté ses prix de 40% selon l’étude évoquée ici, et ce, pour attiser d’autant plus les spéculations autour de sa probable entrée en bourse aux alentours de 100 milliards de dollars…

Les médias BtoB commencent leur mutation (1/2)

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On dit souvent que les comportements du BtoC se retrouvent calqués 10 ans plus tard chez son frère le BtoB. Dans notre secteur, on constate que ce train de retard est valable pour l’importance accordée à la presse en ligne par rapport à la presse papier. Dans la presse généraliste, la mutation a eu lieu depuis quelques années : des rédactions composées de journalistes spécialisés pour le web se sont montées, de nouvelles offres publicitaires ont vu le jour et une façon de communiquer à travers des bannières animées est rentrée dans l’esprit des annonceurs.

Lors du Changing Media Summit, la conférence organisée par The Guardian et qui s’est tenue à Londres les 23 et 24 mars, le président de la société britannique de télévision ITV, a tenu ces propos : « Il y a 20 ans, il n’y avait pas de Web. Il y a 15 ans, Google n’existait pas. Il y a 10 ans, nous n’avions pas de compte Facebook. Et il y a 5 ans, pas de Twitter». Et n’en déplaise à certains acteurs du secteur BtoB, il va bien falloir composer avec cette révolution numérique.

En 2011, les signes du bouleversement du monde des médias ont été clairs. Dans un article du blog W.I.P., Alice Antheaume reprend l’énumération faite par un journaliste spécialisé en nouvelles technologies pour la BBC, qui a égrainé lors de la conférence de Londres, ces événements qui poussent les journalistes à reconsidérer chaque jour leur rôle et leur métier.

* Janvier/février 2011 : Le printemps arabe, ses «lives» et Al Jazeera.

Les révoltes en Tunisie, puis en Egypte, sacrent la chaîne Al Jazeera english, très active pour couvrir ces événements. Les journalistes de la chaîne, dotés d’un réseau efficace, et apprenant en marchant, honorent avec succès la demande d’un public avide d’un flot ininterrompu d’informations, y compris d’infos pouvant sembler insignifiantes. C’est à ce moment-là que s’installent, sur nombre de sites d’informations généralistes dans le monde, des «lives» longue durée, composés de texte, de photos, de vidéos, de commentaires, de messages issus des réseaux sociaux, d’informations brutes et d’analyse journalistique. Des lives qui racontent, minute par minute, sept jours sur sept, les dernières avancées des soulèvements.

* 2 février 2011 : Lancement de The Daily

Créé par Rupert Murdoch, qui détient également The Sun et The Wall Street Journal, ce magazine payant n’est disponible que sur iPad. Son prix : 99 cents la semaine, 39.99 dollars l’année. The Daily «n’est pas qu’une application, c’est une nouvelle voix», peut-on lire sur leur présentation.

* 11 mars 2011 : Angry Birds boucle un (sérieux) tour de table.

L’éditeur d’Angry Birds, ce jeu sur mobile qui consiste à lancer des oiseaux, considéré comme le Super Mario des années 2010, lève 42 millions de dollars. Et continue à se développer, revendiquant 40 millions de « joueurs » actifs mensuels. Une mine qui donne des idées au journalisme. En effet, les mécaniques de jeu, qui jouent « sur nos motivations personnelles », poussent les utilisateurs « à agir », rappelle Marie-Catherine Beuth sur son blog Etreintes digitales. Et donc à consommer des contenus.

* 17 mars 2011 : le New York Times dévoile un mur payant «incroyablement complexe», selon les mots de Rory Cellan Jones

Et c’est peu de le dire. En effet, le système mis en place regorge d’exceptions: si vous consommez moins de 20 contenus par mois, c’est gratuit. Sinon, il faut payer 15 dollars par mois pour lire les informations sur ordinateur et téléphone mobile, mais 20 dollars mensuels pour les lire sur l’ordinateur et une tablette et… 35 dollars pour disposer de ces contenus sur tous les supports. Logique ou pas, les contenus restent gratuits si vous y accédez depuis les réseaux sociaux.

* 21 mars 2011 : Twitter fête ses cinq ans

Le réseau social de San Francisco franchit les étapes d’une start-up qui réussit, et compte désormais 200 millions d’inscrits dans le monde, dont 2,4 millions en France. A côté des 500 millions d’utilisateurs de Facebook, dont 20 millions de Français, le chiffre semble dérisoire. Et pourtant, Twitter constitue un outil de compétition pour les journalistes. La photo de l’avion qui a amerri en catastrophe sur l’Hudson, à New York, c’est sur Twitter qu’elle est apparue en premier, créant un «breaking news» historique. Et ce n’est pas la seule photo publiée sur Twitter à avoir compté en tant qu’information, comme en témoigne ce diaporama des neufs photos qui ont fait entrer le réseau dans l’univers des médias.

* 22 mars 2011 : Lady Gaga est interviewée par… Google

Une interview «exclusive» d’une durée d’1h11 avec public, applaudissements, et questions des internautes, dans laquelle la chanteuse se dit «très honorée» d’être chez Google, se souvenant qu’au lycée, ses amies rêvaient de travailler pour le moteur de recherche américain, et qu’elle rêvait, elle, d’être le mot «que celles-ci cherchaient». Cela va sans dire, la vidéo de la rencontre entre Lady Gaga et Marissa Meyer, vice présidente de Google, a été publiée sur YouTube, la plate-forme du géant américain. Cette vidéo a été vue 1 500 000 fois. »

S’ajoutent à cette liste le rachat du site Huffington Post par AOL pour 315 millions de dollars, et le lancement par Google d’un magazine en Angleterre, intitulé Think Quarterly.

La suite, dans un prochain post qui fera le tour des sites BtoB de notre secteur qui se sont lancés depuis peu.

Études de cas

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